CHI
Les nouvelles Communautés Internationales issues de l’immigration et de l’émigration dont la migration renforce les échanges culturels et les sociétés d’accueil font partie des premières prémices de la géographie cybernétique. Elles constituent en soi des Cyber land qui offrent la complexité et le dynamisme de culture généralisée et globalisée avec toute leur spécificité.
Si cela peut faire penser à l’objet d’un jeu de communauté pour enfant, il peut aussi servir de base de simulation réelle pour adultes ou analystes avancés dans le sens de le nourrir d’un sujet et d’en débattre en commuté pour voir le temps de réaction en relation aux capacités des adversaires et de la compréhension des thèmes défendus. Une plateforme aux extensions multiples pour des études complexes d’universitaires, de stratégies politiques, de communications accélérées.
Cela s’appliquerait en lutte politique, en défense territoriale, en capitalisation boursière virtuelle.
Cela peut s’appliquer à la construction de territoires virtuels de la CHI sous forme graphique, de densité pixélisée, de masse en déplacement, tout cela en 1D, 2D, 3D et même 4D dynamique.
Le format PHP est très approprié pour permettre aux intéressés de rentrer leurs données de façon volontaire, soit texte, soit email, soit téléphone, par couleur ou par alphanumérique, etc. On pourrait obtenir ainsi un profil réel de la CHI mais, plus encore, un compte payant de citoyenneté cybernétique qui alimenterait le site et l’entreprise.
Le monde tel que nous le vivons actuellement est assis sur la notion de la connectivité dans le principe de l’interconnexion. On connecte des individus, les foyers, on le fait pour des entreprises et des villes. Les régions sont concernées tant à l’échelle d’un pays que des continents. La notion dépasse aujourd’hui le physique de la terre avec la réalité des satellites dans l’espace et des nouvelles découvertes planétaires. Les contacts se font par myriades dans la virtualité, seul une empreinte numérisée permet d’identifier mais dans un contexte où la pénétration de territoire n’est plus physique malgré que se passe en temps réel. Si nos frontières sont gardés par des agents spécialisés, ou notre patrimoine domestique ou d’habitat reste plus ou moins à notre portée, l’espace virtuelle est, la nôtre, plus de milliards, elle reste sous influence de gardiens invisibles, les logiciels de surveillance qui ne nous disent pas tout, ni en tout temps. Ceci, alors que la virtualité a poussé le physique à ses extrêmes en termes de capacité de recherches.
La notion de l’Internet de son côté a permis de construire des cyber compagnies et, en migration vers des cyber lands ou de territoire virtuel et même de nation virtuelle, elle subit jusqu’à présent la limite des noms de domaine de pays sans développer des réseaux commutés à l’intérieur des pays. Par exemple le Canada soutient le .ca à l’échelle internationale au même titre qu’à l’échelle nationale, ce qui permet à un étranger de consulter ou même de menacer la sécurité d’un site d’état sans être inquiété ou sans être dissuadé de le faire. Mais le régime électoral démontre la nécessité de créer des réseaux internes par pays, ce qui permettrait, comme cela se fait au niveau des entreprises incorporées soit au fédéral, au provincial ou enregistrées au municipal, de limiter le degré non désiré pour sa visibilité mais aussi, ce qui rapporterait d’autres revenus à l’État tout en laissant le choix de l’exposition à celui qui s’engage. Par exemple, le Québec serait identifié par le .ca pour l’extérieur mais .qc pour l’intérieur du pays. Les Canadiens auraient un accès par un code citoyen pour pénétrer de l’étranger mais à travers la porte d’entrée du cyber land canada.
La cybergraphie est le moyen par interface de tracer l’évolution du dynamisme de la connectivité et de l’inter connectivité des relations de notre existence en numérique dans le post moderne. Elle propose en interactivité, une des lectures adaptées de la Géographie Cybernétique.