La Géographie Cybernétique
La Géographie Cybernétique est née de la nouvelle notion de Communauté X Internationale due à l’immigration, à l’émigration et à la mouvance de personnes dans des mêmes espaces territoriaux et, du contexte de la numérisation et de l’inter connectivité des individus, des cultures, elle s’est virtualisée par l’informatique, renforçant cette nouvelle notion. Elle démontre la potentialité et la réalité de l’affaissement des frontières physiques traditionnelles pour de nouvelles Communautés virtualisées, pour des Nations virtualisées – les blogs, les sites Web, les tableaux numériques de communication multiple. Elles s’annoncent privées, publiques, pour un avenir immédiat.
La Géographie Cybernétique définit de nouveaux concepts de l’État, de la Nation, en contournant la notion de territoire et de sa violabilité physique. Sa définition par contre en tant que forme est non seulement frivole, reste à définir comme ensemble, comme profil, comme habitude. L’antiquité et la modernité nous ont laissé la forme du déluge, de tornades, comme celle de l’Égypte pyramidale ou la botte de l’Italie du Colisée ou, même les souvenirs de la grande pomme du World Trade Center.La Géographie Cybernétique aide à comprendre rapidement le poids important et impressionnant des nouvelles relations qui se tissent et qui évoluent entre les individus, les gouvernements, les États, et, plus spécifiquement dans le commerce ou le troc, la clef de l’économie du passé comme celle à venir, dans un contexte d’instantanéité.
Le concept appartient à Partenaire HEM International, une corporation canadienne qui a mis sur pied un réseau d’information globalisée au service du consommateur du monde et des médias partenaires et détient d’autres organes de presse établis .
Le Canada sera donc un grand territoire physique mais seul sa capacité à héberger numériquement d’une part dans ses N. domaines et, d’autre part de ses entreprises V, ceci sans contourner son leadership à libéraliser complètement le numérique dans son ensemble et dans ses applications dans la globalité et dans le domestique.
La forme cybernétique est donc à définir, de part elle-même elle s’imposera à la même enseigne que les indices boursiers et leurs effets sur l’économie mondiale. C’est en soi un sujet d’études qui débordera le 1/2 siècle.
Devra-t-on parler de Cybergraphe et de Cybergraphie – nouvelle spécialisation universitaire. La notion physique de l’orientation relative à un globe aura fait place à la fluidité et à la frivolité, loin du définitif qui résulte de batailles frontalières traditionnelles.
Exonérée de la singulière limite de l’aplat de la cartographie originale, ou de l’opacité d’un globe comme instrument de travail, ce grâce à la numérisation et à la virtualité, elle se renforce en volume dynamisé et dynamique qui permet de cerner les formes, les mouvances, les regroupement, les rupture, les rajouts, comme les retraits dans l’instantanée de la fréquence. Une interface proposera l’utilisation de couches liées et de couches autonomes. Elle dépendra de territoires virtuelles en dehors de la terre même, aussi, la botte italienne n’est donc pas une garantie cybergraphique pour aujourd’hui, ni pour demain, dans la forme des communautés virtuelles, car étant dynamique de connectivité dans le temps comme dans les technologies disponibles, les effets font dans l’instantanée et dans l’innovation. Il faudra attendre encore longtemps, peut-être des millénaires pour trouver un niveau de satisfaction qui tranquillisera le consommateur averti et le nouvel acteur politique. La rhétorique du pouvoir traditionnel aura évolué plus qu’on ne le perçoit aujourd’hui. Les sciences politiques aussi.