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LA PLANÈTE DES SINGES DANS LE MAILLON DC VS PY

DIPLOMATIE INTERNATIONAL ET SOCIÉTÉ par Dan Albertini [printicon align=”right”]

Entre (). Dieudonné en Corée-du-Nord. La tentative d’infiltration française mal habillée d’un fils non désiré récupérer par le service secret français ? Sujet de brevet élémentaire. Fin de ().

PL, le capitaine hurlant à l’humanité toute entière : « ah les criminels ! Ils les ont fait sauter leurs bombes ! Ah, les fous ! Je vous hais ! Soyez maudits jusqu’à la fin des siècles ». Là, Charlton Heston est le capitaine George Taylor dans le scénario de Rod Serling produit par 20th Century Fox, 1968. Non il n’y a erreur, je ne me crois sur la route du cinéma. Je me sais en toute lucidité dans la chronique diplomatie internationale & société. En outre, il n’y a autre illustration plus fidèle, plus appropriée, plus exacte dans l’éventualité, qui exprime toute l’attention du monde connu d’aujourd’hui, de ces signaux radios inconnus détectés par nos centres de recherches qui pourraient signifier un observatoire outre-stellaire de ceux qui comme sur La Planète des Singes, nous craindraient [nous fous furieux en recomposition hormonale pour s’ingénier en savante traître à la patrie refoulée aux frontières subsidiaires de la reine], comme la peste. Heston dans le film est resté vivant, mais est mort dans la vie, de vieillesse. Laquelle attention sur ce que nous faisons actuellement dans les caves souterraines tandis que de DC à PY, la plaie de Nixon ne représente que stand up comics à Carnegie Hall.

Qu’est-ce que cela prendrait pour un homme qui voulait voir ses « TT » plus loin que le monde, dans des sphères interstellaires comme une signature de juge dans « le film où la fille du juge est… », puisque l’illustration vient du cinéma. Voir décomposer toutes ses illusions, hors de la Joke. Allons plus loin, de l’autre côté, pour un p’tit danseur de « gangsta » désireux d’une soirée new-yorkaise voir son rêve s’envoler en fumée, soit par la guerre, soit par la m… !

Si je demeure malgré tout confiant en l’avenir, je dois évidemment me rappeler du contenu de certaines chroniques qui tendent à expliquer le drame américain depuis 2001, où, je disais que si la Chine réussissait à convertir annuellement 1M de citoyens en consommateurs réels, sur une période de dix ans, ce de façon composée sur un vecteur de croissance exponentielle, la Chine battrait tonton en besogne, si l’Amérique n’arrivait pas à se réinventer à se recréer. À grossir sa masse critique en termes de fiscalité par le citoyen multiplié, non pas l’ÉcoAvon. Si Pékin assimile, tonton a mal pigé cette partie en menaçant le migrant de déportation. Erreur !

Vision prémonitoire, prévision, prédiction, l’Amérique a été tellement ébranlée par Pékin que le reste du monde souhaita sa chute sans pour autant mesurer le degré d’intolérance pékinoise à sa juste valeur. L’équation est malgré tout à démontrer mais la main active de PY ne serait jamais sans cette valeur cachée de Mao désormais libre dans ses percées en vasa-vasorum, glas militaire après la baisse radicale de coût de production de produits singuliers éphémères. Une fois de plus, qui est ce Pékinois avec la toute puissance nucléaire en main, la numération de l’armée occupant, grand fabricant exclusif de biens matériels, dans la pensée bouddhiste ?

Il faudrait évidemment, avant de mettre en accusation, mesurer une autre dimension nord-coréenne. L’empoisonnement du ½ frère de Kim en Malaisie. Pékin n’y sera lié mais l’ombre de Moscou plane comme un dard infernal en rage de se voir ré-déclasser aussi, si la Chine performe et ambitionne en vasa-vasorum. Et que tonton se voit en empire retraité. N’oublions le Russe empoisonné à Londres, au polonium 210. Que ne ferait Poutine pour protéger sa main mise sur Moscou, à son profit, en termes de longévité et d’exclusivité. Revisitons alors cette affaire de « prostituées russes » dont on a fait part lors de la dernière campagne présidentielle US, cunnilingus n’est crime. Si, je dis bien si, cela s’avérerait réel, pourquoi ne pas briser la glace, la TT n’a plus rien à perdre sinon qu’en cache-cache, que de gagner à voir s’effondrer la manipulation, la menace de Moscou croyant détenir l’exclusivité du scandale. Publions aussi tout 42nd avec ces caftés des affaires, de diplomatie internationale qui viennent. a manus… stuprare. par devant l’œil-à-sous qui cache de manière sécuritaire la commande nue derrière l’écran blindé. On combien de pasteurs y seraient pris aussi car il y a évidemment la camera obscura de la sécurité, transformons-là en caméra-lucida. Si la prostituée russe existe, si elle n’est pas malade, quoi de neuf, les rois de France ont fait pires en envoyant les « filles du roi » outremer, après syphilis. Scandale pour scandales, faisons venir Kim se défouler à NYC 42nd, point final. La CIA saura-t-elle en nier de cette pratique, en avait-on tenté avec Nixon ?

Si nous devrions considérer l’heure du choix. Sommes-nous a) au capitaine Taylor qui jure ; b) au Cardinal Barbarin accusé en France, qui cachait ; c) au pasteur candidat démocrate qui se récusa ; d) à la leçon de morale du pervers ; e) à toutes ces réponses ; f) à aucune de ces réponses ; g) au goût de désamorcer une crise et vivre ? Il faut ouvrir l’œil mieux que Madoff.

Considérons maintenant ce qui est dit ici en avant, en relation avec la Chine tentaculaire, avec Moscou l’irrité enragé, avec Madrid prince pervers, avec Berlin au moteur truqué, avec Paris la mensongère déloyale, avec Rome aux cardinaux pédophiles, avec Rio de Lula, avec l’Inde du viol collectif, avec le Chrétien menteur. Qui jettera la première pierre, quand Trump aura remis l’Amérique au centre du vrai débat ? Donald Trump n’avait-il pas suggéré de recevoir Kim en Floride puisque la diplomatie onusienne des sanctions ne fonctionnait depuis Barack !

Il a évidemment (2) formules sur la table. Faire rire Kim à domicile, en Floride [Brian n’a-t-il pas été dansé à regret pour lui quand malgré tout, les frontières regorgent de candidats invités que Justin, dans sa culture latine mensongère, jure et pense pouvoir déporter en Haïti après (2) ans de procédures épuisées, aux frais déduits de l’assiette onusienne ?]. Ou, partir dénicher Kim de sa demeure tandis que notre dernier article sur le sujet signifiait un échéancier en souffrance. À lui d’en choisir, dans la considération de ses fils implantant les TT en attendant la fin des quatre ans à la Maison Blanche. Il y a certainement là bruits de guerre mais pas fin du monde dans le sens du juron du capitaine Taylor dans La Planète des Singes. Il faut alors assimiler ainsi l’attaque frontale contre le sport américain : diplomatie du « art of the deal » pour sortir du Vox populi outremer dégradé en vulgum pecus. Fais gaffe Kim, « may God bless America », que Dieu pardonne Donald. Disney offre ainsi un nouveau studio gratuit.

Ne me voyez ici de la conversation haïtienne en ablatif (pêle-mêle) quand je parle des 12H71. Heure.ht. Voilà Charles Baudelaire, 1859 in Théophile Gautier : « l’admirable paraphrase de la sentence inscrite sur le cadran de l’horloge d’Urrugne : Vulnerant omnes, ultima necat ». Locution latine adoptée en français et signifie : « toutes les heures blessent, la dernière tue ». La presse étrangère n’a jamais vendu autant de…, au point que Libération publie NYT. 


Cet article est publié par l’hebdomadaire Haïti Observateur, édition du 27 septembre 2017 et le format PDF se trouve à cette adresse : http://www.haiti-observateur.ca