AQUÌ NO QUEREMOS AMOS
DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIÉTÉ par Dan Albertini
Entre (). Le temps est aux héros ce que l’amour est aux amants. Peu importe la morale, l’histoire parlera d’elle-même. Cuba se vit en français. Fermons les ()
Adieu Fidel, j’ai vu CHE hier. Dans un film on s’entend. Une fille m’a vu poser la jaquette. Elle me dit : « très bon » en appréciant d’un geste de la tête. Karine est une jeune canadienne de parents trinidadiens. Je lui ai dit que CHE a perdu. Elle me parut déçue. Je rajoute. Cause : Fidel. Soulagée, elle ne savait que dans ma jeunesse, depuis la 6ième secondaire, on m’a surnommé Castro à cause de ma barbe. Une législation sans terroir de l’histoire dont tout le monde est tenancier. Jusqu’à 2001 pour moi, je n’ai pas aimé l’autre référence. On peut l’imaginer. Tout révolutionnaire, je corrige. En classe il y avait Évis Théodore, il quitta le collège tôt, il partit tout révolutionnaire dans l’âme. Nous l’avions surnommé Castro, puis Fidel. Mais je le crois du CHE. Il se fabriqua un statut de photographe et tenait un…
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