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TRUMP DÉVIE L’OPPOSITION ET PASSE AUTRE CHOSE QU’OBAMACARE

DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ par Dan Albertini

Entre (). L’Europe veut se renforcer quand la France se Berlusconise. Fermons les ().

Le poids d’OBAMACARE est connu : trente votes pour faire échouer, non pour certifier. Voilà  sa valeur. Mais avant tout, le Président Trump a-t-il fait passer autre chose, ailleurs dans le même temps ? Mieux, Obama s’est-il dévoilé la vilaine face en s’activant à l’occasion, contre la Maison Blanche, quand il avait huit ans pour ce faire, pour se faire un héritage ?

Si la charge d’opposition guindée en colosse s’est évaluée ou, surévaluée en termes de force vitale contre la présidence Trump/Pence, elle s’est trahie, dévoilant sa force réelle. Pire, elle n’est consistante dans une seule molécule mais se partage avec des Congresman affairistes républicains en fait. Négociable alors. L’affaire ici n’est de crier victoire, ni trop tôt. Mieux !

Barack Obama s’est carrément dévoilé dangereux activiste quand il constate aujourd’hui son incapacité des années de présidence et, veut tenter de neutraliser l’État dans le but de s’accorder raison. De s’assurer un gain. Huit ans d’incompétence, imaginons. N’était-ce la garantie constitutionnelle, tendance dictatoriale de Butler déchu, il veut encore dominer à DC.

Quel était en fait le véritable gain, la véritable cible du Président Donald J Trump dans cet exercice, au même moment de signer Keystone, antérieurement rejeté par Obama ? Frapper une cible à la fois, tout en polarisant les autres afin de les mesurer en temps réel, de là les affaiblir naturellement ? Progressivement, ce en deux mois de gouvernance ? Quand le président-Butler croyait avoir miné son successeur, n’est-ce pas ce que disait l’anti-Trump ? Afin de tirer les ficelles et s’instituer en génie, à son avantage ? Un gain : démasquer BHO ?

Beaucoup d’interrogations n’est-ce pas, avouons que la nouvelle administration Trump/Pence est encore en place mais surtout, gagne du terrain. Diplomatiquement d’abord, puisqu’on lui prêtait de l’incompétence. Bilatéralisme. En vitalisant Keystone, Trump contrôle le bavard Justin Trudeau, il suspend un os financier et économique tellement vital pour la survie de Trudeau endetté et de l’axe énergétique de l’Alberta. Cela, en damant le pion à la Chine de China Petroleum. Question : si Trudeau veut un mur au Sud, Keystone paiera-t-il, pour retenir les réfugiés au Nord des US ? Contention ou rétention ? Mieux, acheter à quel prix ? Si Trudeau a été en territoire américain avec une meute provinciale et économique afin de faire du lobby canadien, comprenons que cela aurait en effet un poids. Trump en vitalisant Keystone sait avec pertinence que la contestation viendra des communautés autochtones. Trudeau dans ses besoins, sera-t-il par-là même forcé à suppléer diplomatiquement mais à un niveau domestique américain, tandis que la charge pourrait politiquement nuire à Trump occupé à négocier ailleurs ? Effet d’entrainement ou effet de causalité, la diplomatie canadienne n’a le choix que de plonger pour Keystone, donc pour Trump. Effet escompté, créer une vive relance économique et une redynamisation financière et libérer de là les autres axes occupés par des activistes, puis agir comme pour une tour déplacé dans un jeu d’échec. En outre, Obama vient-il de gagner dit-on, avec sa femme, 30 M$ chacun, pour le fruit d’un ou d’ouvrage à venir. Où croyez-vous il ira investir sa petite fortune si ce n’est un fonds rentable ? Silence alors s’en suivra ou, perte d’émoluments ? Il suffit de faire tomber Kim…

Clôturons. Où sont ceux qui accusaient le génie russe d’interférence dans les élections présidentielles U.S., pointant des présumés ? Poutine est-il en difficulté à Moscou même ?

dan@danalbertini.co