DAMAS FRAPPE PRÉVISIBLE FRAPPE DIVISIBLE
DIPLOMATIE INTERNATIONALE & SOCIÉTÉ Par Dan Albertini
Entre (). Il ne suffit de se faire en intention, le devoir est un impératif. Fermons les ().
Bravo, de mieux en mieux
Je le vois à titre personnel, j’assume. La frappe tant attendue, plus que nécessaire, impérative, Damas n’en croira. On ne joue au paratonnerre dans l’orage. Une frappe conjointe-israélienne eut été une foudre utilitaire. Mieux que Bachar, tel monde a compris le message utilitaire : couvre-feu sur Damas. On rentre en guerre « par le bras armé de l’Éternel », dirait jadis le roi David. On n’extermine pas sans retenue son peuple, sans conséquence. Le centre névralgique, vital de Bachar, doit subir en conséquence de ses inconséquences. Le temps n’est ainsi plus notre allié, mais l’imprévisibilité, si Jéricho doit tomber. Tel est l’indice et le plan aussi.
Couvre-feu sur Damas
[…], Il ne fait aucun doute que la Corée du Nord devra tirer des leçons. Sa forme de pression n’est plus une action innocente. La frappe est donc divisible en termes d’actions proportionnelles aux menaces. S’il faut attendre une action catastrophique, qui peut évaluer l’impact en termes de déstabilisation, sur l’économie mondiale ? Voyons, la Chine n’épargne Tiananmen ni le Tibet. Elle comprend le langage du couvre-feu élargie. Le tango est en piste, il faut danser !
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