LE MAIRE ZAGO LORAJ
Par Dan Albertini
Un pas à la fois, une faute à chaque fois découverte. J’ai toujours su que, à la manière d’Aznavour, « je sais qu’un jour viendra », la véritable face de cet ami de ce Juda de Montréal allait faire l’objet de scandale. Je citerais la critique du jour du 3 avril de chroniqueurs qui font du bon travail mais je garde. Je me garde pour la fin.
Point n’est besoin d’imaginer c’est un fait, un chèque dans la ligne de mire, pour affaire personnelle. Pourquoi ne pas l’avoir dit si on était honnête au moment de la commission. Mais, que se cacherait-il encore que l’on ne sache si ce n’est la mimique personnelle du personnage. L’opposition devrait-elle se préparer à devenir maire en fonction, c’est une véritable option du portrait de notre ville où l’on voit d’autre maire tomber pour cause de pédophilie aggravée, de corruption, de fracture pour facture en cash. La fin approche.